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Show Must Go On

GAME OF THRONES, Saison 5

Bilan : Saison inégale. Entre piratages incéssants et succession de records d'audience. A force d'aller trop vite, la série à dépassé les bouquins, et ça se ressent sacrément dans la qualité de l'intrigue. Cette 5ème saison enchaine les fulgurance incongrues et c'est too-much. Game of Thrones ne fait jamais dans le demi-mesure, mais la marche est forcée. La saison 5 s'embrume dans ces travers habituels et ne trouve que trop raremement le bon sens du spectacle et du récit.

DAREDEVIL, Saison 1

Bilan : On s'engage pas beaucoup en disant qu'il s'agit probablement du meilleur hero-show vu depuis très très longtemps. Le casting est plus qu'impeccable, avec une mention particulière pour Vincent D'Onofrio (incroyable bad-guy, proche d'un Lex Luthor rêvé). L'intrigue reste relativement simple et efficace, et néanmoins prenante, exception faite à quelques rares fioritures très académiques (Stick). La plongée dans les noirceurs de Hell's Ktchen fonctionne. C'est too-much par moments, mais dans quelque chose qui semble inévitable dans cet univers super-héroïque.

THE LAST MAN ON EARTH, Saison 1

Bilan : D'un humour absurde et d'un cynisme rares à la TV, la série prend le temps de nous attacher à des personnages atypiques, mais touchants. On y voit forcement un peu de nous, car on est tous plus ou moins névrosés.

HOUSE OF CARDS, Saison 3
WAYWARD PINES, Saison 1

Production : Fox

 

Progression : 6 épisodes / 10

Abandon.

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Format : 50min

 

Diffusion : Jeudis (US)

ORANGE IS THE NEW BLACK, Saison 3

Bilan : Réussite totale ! Les personnages évoluent dans un parfaite cohérence.
Une telle constance dans la construction du récit et de ces protagonistes n'est pas sans faire penser à Breaking Bad !
Taylor Schilling fait encore des merveilles, plus que jamais même. Et l'ensemble du casting se fait une place forte ! Mention à Ruby Rose (Stella) et Laura Prepon (Alex)

Bilan : Le début de cette 8ème saison a montré les prémices d'une redondance, jusque là plutôt bien évitée par la série. Un choix scénaristique fort, a paradoxellement relancé l'humour essentiel de TBBT.

THE BIG BANG THEORY, Saison 8

Bilan : Cette troisième campagne d'Underwood est très inégale. Dans son ensemble l'intrigue de la saison reste intéressante, avec des moments incongrus qui rappelent les pires écarts de la saison 2, et des temps suspendus par une maitirise totale (scénario, interprétation, mise en scène). Robin Wright et Kevin Spacey explosent ! La politique "fiction" au sommet.

WET HOT AMERICAN SUMMER, First Day of Camp

Bilan : Contrairement au titre, c'est court...et heureusement.
Humour absurde et grivois qui, hélas, ne fonctionne pas. Pourtant ça donne envie de rentrer dans le délire et ça arrache quelques sourires.

TRUE DETECTIVE, Saison 2

Bilan : Pas toujours aussi saisissante que la première, cette saison a quand même largement livré son lot de fascination.
L'intrigue est certes alambiquée mais conclue avec cohérence. C'est une issue un peu précipitée (et aussi un peu too much) mais convaincante.
La réalisation, régulièrement époustouflante dans la saison 2 (avec aussi ses gros ratés), prend toute son ampleur dans le final.
Bref le pari de l'anthologie est réussi, à savoir trouver une nouvelle ambiance sans trahir l'univers.

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